AULUS TREBIUS VALENS
AVE, voyageurs du temps et de l’esprit,
Moi, Aulus Trebius Valens, fils de gens respectables mais pas trop, citoyen romain égaré dans des siècles qui ne sont pas les miens, je vous ouvre les portes de mon monde… ou plutôt de mes mondes, car tout cela est tellement flou.
Ici, les temples antiques côtoient les parkings d’hypermarchés, les sénateurs débattent sur des forums en ligne, et les toges se froissent dans des vestiaires d’entreprise. Quant à moi ? Je fais de mon mieux pour survivre dignement à l’absurdité, en laissant derrière moi quelques fragments d’aventures – récits tantôt glorieux, souvent maladroits, toujours sincères (ou presque).
Ce site est mon refuge, mon amphithéâtre intime, l’endroit où je consigne mes errances, mes rencontres improbables et mes réflexions de citoyen antique confronté à un monde… disons… très connecté mais pas toujours très cohérent.
Alors entrez. Laissez vos sandales ou vos baskets à l’entrée, et venez découvrir mes chroniques intemporelles. Si vous riez, tant mieux. Si vous pleurez, c’est sûrement une poussière dans l’œil.
Ave moi,
Aulus Trebius Valens
(observateur impuissant d’un monde qui ne tourne pas rond, quel que soit le siècle)